lettre d’amour de Joan Seed:
Chérie,
Je t’écris depuis le motel Cluster B. Ici, les néons clignotent comme des avertissements… mais leur éclat est si hypnotique qu’on finit par s’y brûler les yeux. Tout brille pour mieux masquer les fissures : promesses clinquantes, drames éclatants, service émotionnel sans pause.
On en ressort un peu ébloui, un peu vidé, mais guéri d’une certaine naïveté. Parce qu’il faut parfois dormir dans le mensonge pour apprendre à reconnaître la vraie lumière.
Avec affection (et des lunettes fumées),
Joan
Description de l’œuvre
Bienvenue au motel Cluster B, l’endroit où les relations s’effritent plus vite que le vernis du sourire. Ce collage rétrosurréaliste explore le monde déroutant des troubles de la personnalité du groupe B, là où le charme est une façade, la bienveillance un décor, et l’amour un numéro de mise en scène.
Sur fond de désert craquelé et d’enseigne clinquante, une reine de beauté couronnée de faux éclats salue les passants, arborant fièrement son écharpe « Narcissism ». Joan Seed y évoque la cohabitation émotionnelle avec ces personnalités charismatiques mais dévastatrices – un séjour prolongé dans un motel où le sommeil n’est jamais paisible.
Travaillant dans un style inspiré du pop art et de l’esthétique publicitaire des années 1960, Seed détourne les symboles du rêve américain pour exposer les fissures du vernis culturel : le glamour devenu simulacre, la séduction en guise de manipulation, la façade en guise de vérité.
Œuvre incisive, ironique et étrangement familière, Cluster B Motel tient autant du clin d’œil acide que de la radiographie émotionnelle.
Détails de l’œuvre
Titre :Cluster B Motel
Technique : collage numérique et techniques mixtes
Dimensions : offertes en formats 30 × 30 po et 60 × 60 po
Édition : limitée, signée et numérotée par l’artiste
Année : 2024
Disponibilité : tirages giclés de qualité muséale sur papier d’archives
Idéal pour : collectionneur·ses d’art canadien, galeristes engagé·es et amateur·rices d’art à portée sociale
[LM1]J'ai conservé le nom anglais, puisqu'on imagine que c'est aux États-Unis.
lettre d’amour de Joan Seed:
Chérie,
Je t’écris depuis le motel Cluster B. Ici, les néons clignotent comme des avertissements… mais leur éclat est si hypnotique qu’on finit par s’y brûler les yeux. Tout brille pour mieux masquer les fissures : promesses clinquantes, drames éclatants, service émotionnel sans pause.
On en ressort un peu ébloui, un peu vidé, mais guéri d’une certaine naïveté. Parce qu’il faut parfois dormir dans le mensonge pour apprendre à reconnaître la vraie lumière.
Avec affection (et des lunettes fumées),
Joan
Description de l’œuvre
Bienvenue au motel Cluster B, l’endroit où les relations s’effritent plus vite que le vernis du sourire. Ce collage rétrosurréaliste explore le monde déroutant des troubles de la personnalité du groupe B, là où le charme est une façade, la bienveillance un décor, et l’amour un numéro de mise en scène.
Sur fond de désert craquelé et d’enseigne clinquante, une reine de beauté couronnée de faux éclats salue les passants, arborant fièrement son écharpe « Narcissism ». Joan Seed y évoque la cohabitation émotionnelle avec ces personnalités charismatiques mais dévastatrices – un séjour prolongé dans un motel où le sommeil n’est jamais paisible.
Travaillant dans un style inspiré du pop art et de l’esthétique publicitaire des années 1960, Seed détourne les symboles du rêve américain pour exposer les fissures du vernis culturel : le glamour devenu simulacre, la séduction en guise de manipulation, la façade en guise de vérité.
Œuvre incisive, ironique et étrangement familière, Cluster B Motel tient autant du clin d’œil acide que de la radiographie émotionnelle.
Détails de l’œuvre
Titre :Cluster B Motel
Technique : collage numérique et techniques mixtes
Dimensions : offertes en formats 30 × 30 po et 60 × 60 po
Édition : limitée, signée et numérotée par l’artiste
Année : 2024
Disponibilité : tirages giclés de qualité muséale sur papier d’archives
Idéal pour : collectionneur·ses d’art canadien, galeristes engagé·es et amateur·rices d’art à portée sociale
[LM1]J'ai conservé le nom anglais, puisqu'on imagine que c'est aux États-Unis.
